La neutralité carbone du chauffage au bois est souvent remise en question alors qu’en réalité la croyance le qualifiant de pollueur est complètement dépassée grâce aux appareils présents actuellement sur le marché.
La préservation de la qualité de l’air
82% des particules sont émises par des cheminées à foyer ouvert et des poêles à bois trop anciens. Ce chiffre prouve bien que les émissions ne sont pas liées à la réalité actuelle des équipements mais plutôt à une transition énergétique trop lente.
Une étude menée par Ineris en 2019 démontre que le taux d’humidité du granulé, sa combustion et l’alimentation automatique des appareils permettent une combustion optimisée et donc des émissions de particules plus faibles.
Une faible émission de gaz à effet de serre
Quand l’électricité ou le fioul rejette en moyenne entre 200 et 600 g/kWh de CO2, le chauffage au bois n’en rejette que 26 g/kWh.
Le chauffage au bois énergie est le seul moyen de se chauffer avec une gestion des émissions de carbone se faisant durant tout le cycle de vie de la matière première.
Le CO2 émis lors de la combustion du bois étant déjà présent dans l’air, il constitue un effet plus naturel que celui des énergies fossiles, lui stocké dans la terre.
De plus, le bilan carbone du bois est considéré comme neutre, dans la mesure où le CO2 émis lors de sa combustion est inférieur à celui que le bois capte durant la croissance de l’arbre. : seule une partie est utilisée en bois-énergie, tandis que (bois matériau) continue à stocker du CO2.
Source : Propellet France